Après trois ans de silence, Isaac Delusion (désormais installé en Bretagne !) revient avec un nouvel album.
Présent depuis 2012 dans le paysage électro-pop français, le groupe sort Lost and found, surprenant à plusieurs titres : il révèle la véritable voix de son leader Loïc Fleury et explore de nouvelles pistes musicales.
Les concerts qui l’accompagnent en sont d’autant plus attendus !

En trente ans de parcours, le producteur français a gravé des albums majeurs de l’électronique mondiale : Pansoul (avec Philippe Zdar), Super Discount, Tempovisio etc.
Étienne de Crécy est un DJ passionné, dont on ne présente plus les lives démentiels qui font irrémédiablement danser. Son live Beats’n’Cubes est d’ailleurs devenu une référence mondiale en matière de performances électroniques live.
Il prépare actuellement son nouvel album, l’impatience est vive !

En une petite dizaine d’années, Boston Bun, aka Thibaud Noyer, s’est imposé comme un des producteurs et DJs remarqués de la French Touch 2.0.
Cultivant un son qui lui est propre – house, vocal, dansant et flirtant avec le disco, il prouve l’efficacité et l’hédonisme de ses morceaux sur les dancefloors !

Passée par le Conservatoire, par une école de jazz, par des études en sciences politiques et en sociologie, la voix particulière de Blumi l’amène à collaborer avec divers artistes comme Bon Iver ou Feist, pour qui elle fait les choeurs, et à partir en tournée (à la basse, au chant, aux synthés) avec d’autres.
Elle offre une présence singulière, une musique suspendue, à la fois hors du temps et attentive à son époque, s’incarnant dans des chansons qui marquent.

On n’évalue pas toujours bien l’impact qu’un bon morceau de pop peut avoir sur nous. David Numwami, lui, l’a bien compris. Mieux : il le provoque !
Bien décidé à honorer l’héritage du registre populaire intemporel, le multi-instrumentiste bruxellois s’érige comme le nouveau romantique de la pop francophone.
Son nouvel E.P. vient tout juste de sortir et se nomme, évidemment, I love you.

Nina Versyp a passé son adolescence entre Bristol et Manchester. Aujourd’hui, elle pense, rêve et écrit en anglais. Il lui permet de dire, sans en avoir trop l’air.
Seule sur scène, elle confie avec pudeur ses émotions, couche sur les cordes ses espoirs et déceptions, dessinant les contours d’une pop-folk aux touches trip-hop.