Le pas de côté est presque devenu une tradition des Nuits de l’Alligator. À l’écart de la ligne artistique officielle du festival, on invite des musicien·nes parce qu’on les aime, qu’on les sent bien, qu’on veut les voir sur scène.

Venu·es d’Australie, les Belair Lip Bombs incarnent le meilleur du rock alligatoro-compatible. Iels évoquent les Strokes, Television, la scène kiwi vintage (des Chills à The Clean) ou la grande sœur Courtney Barnett. Lush Life, leur premier album (sorti sur le label de Jack White), est une merveille de power-pop solaire et aérienne, avec des chansons à reprendre en chœur en bougeant dans tous les sens.
Première tournée française et coup de cœur assuré !

Un groupe du Costa Rica qui partage la scène avec un groupe australien, c’est only au crossroad des Nuits de l’Alligator, pour un grand écart géographique et stylistique.

Las Robertas viennent donc du Costa Rica et c’est bien la première fois qu’un groupe costaricien est programmé aux Nuits de l’Alligator. ¡ Bienvenidos a las Noches del caimán ! Et bravo pour la musique, enivrante et addictive décoction de rock psyché nerveux, de dream pop à fleurs et d’esprit indé.