1 Jour : 22 € en location & 25 € sur place


« Quand j’écoute trop Wagner, j’ai envie d’envahir la Pologne.» affirmait malicieusement Woody Allen. Ici, notre Wagner provoquerait plutôt l’irrésistible envie d’envahir le danceflloor. Avec son électro-pop sombre et raffinée, le jeune Fran- co-Américain évoque tour à tour New Order, Depeche Mode ou Moroder.

Héritier de la new-wave, du post punk et de la pop synthétique française des 80’s, Lescop s’inscrit dans la lignée de Taxi Girl et autres jeunes gens modernes. Porté par l’hymne La Forêt, le premier album du Rochelais est un condensé de mélodies entêtantes et de rythmes implacables.

Actrice, comédienne, mannequin… et aujourd’hui songwriter, Lou Doillon a décidemment tous les talents. Son premier album Places fut l’une des plus belles surprises de 2012. Soutenue par Etienne Daho et avec l’aide du producteur Philippe Zdar, elle a réussit à s’imposer par la seule force de ses chansons douces- amères, avec sa voix joliment brisée à la Marianne Faithfull.

Né de la rencontre entre Jean-Benoit Dunckel de Air et de Lou Hayter (déjà accueillie sur le festival avec New Young Pony Club), Tomorrow’s World se présente comme la rencontre imaginaire entre Suicide et les Shangri-Las ou comme la BO imaginaire d’un film de David Lynch. Sur So Long My Love l’ad- mirable premier titre dévoilé, les claviers synthétiques du Français se mélangent admirablement à la voix suave et vaporeuse de l’Anglaise.

A mi-chemin entre la pop rétro-futuriste de Broadcast et le rock psychédélique 60’s, voici Melody’s Echo Chamber, le beau projet de la française Melody Prochet. Enregistré entre Perth et la Provence, avec l’aide précieuse de Kevin Parker de Tame Impala, ce premier album est un véritable bonheur acidulé, gorgé d’écho et de réverbération.
